Les étudiants de la première promotion de la licence professionnelle en Planification suivi évaluation des projets et de programme de développement local (PSE/PDL), ont soutenu leur rapport de stage les 23 et 24 octobre 2019. Ces soutenances marquent la fin de leur formation dans cette filière. Le ton de l’événement a été donné par M. Kuwao-Assan Johnson (MC), doyen de la Faculté des sciences économiques et de gestion (FaSEG). C’était en présence des responsables pédagogiques, des enseignants-chercheurs de la faculté, des parents et amis des candidats.
Ils étaient au total quatre-vingt-deux étudiants à soutenir leur rapport de stage pour le compte de la première vague de la série des soutenances. Ces soutenances sont faites par les étudiants ayant validé toutes leurs unités d’enseignement et qui ont effectué avec succès un stage professionnel. C’est ce rapport de stage qui est présenté devant un jury de soutenance. Ce travail est l’aboutissement de trois ans de formation débutée au cours de l’année académique 2016-2017.
A l’ouverture de ce programme qui a marqué le début des formations professionnelles à l’Université de Kara, la toute première promotion de la licence professionnelle PSE/PDL comptait cent vingt étudiants, soixante-dix en cours du jour et cinquante en cours du soir. Parmi ces étudiants l’on dénombre trente filles et vingt-cinq fonctionnaires.
De ces soutenances se dégage un sentiment de satisfaction tant des encadreurs que des étudiants eux-mêmes. « C’est avec un sentiment du travail bien fait et de devoir accompli que nous célébrons aujourd’hui la professionnalisation à l’Université de Kara. Cette formation vient à point nommé dans la mesure où nous sommes en plein pied dans le PND et la mise en place des collectivités locales. Ce programme a été une vision de bonne augure du président de l’Université de Kara dans ce sens que les nouveaux diplômés sont un atout pour les nouvelles structures décentralisées du Togo », a affirmé le doyen Johnson.
Et de l’avis des encadreurs, les documents de soutenances présentés par les étudiants sont de très bonnes qualités. « Les sujets abordés par les étudiants après leur stage sont très pertinents. Et les différents aspects évoqués vont permettre de résoudre certains problèmes précis dans la société togolaise », a fait remarquer M. Kwami Ossadzifo Wonyra, enseignant-chercheur.
Selon M. Ayemi Akessime Lawani, responsable de la licence PSE/PDL, ces soutenances permettent aux étudiants d’avoir leur licence professionnelle dans trois spécialités : planification; développement local et suivi évaluation des programmes, et projet de développement.
Pour M. Balouki Kouloun, étudiant en option planification, cette soutenance est l’aboutissement des efforts consentis au cours de la formation et des différents stages effectués. « J’ai travaillé dure pour préparer cette soutenance et je suis fière du résultat que j’ai eu. Il est le fruit de la qualité de formation que j’ai reçue », a déclaré Mlle Bachiratou Akpo, étudiante en option suivi évaluation.
Une seconde vague des soutenances est prévue courant le mois de novembre à l’issue de laquelle les étudiants recevront leurs attestations de fin de formation.
4 Commentaires. En écrire un nouveau
Qui aurait crû, et voilà tout qui commence bien et qui fini bien. Je me suis toujours basé sur l’endurance que cette formation m’est donnée pour fixer mon objectif et j’ai eu un résultat parfait.
Au bout de tout effort il y a un réconfort.
Je dis merci au Président Komla SANDA, au Doyen JOHNSON et à toute son équipe pour le travail abattu. Ils nous ont donné cette formation de qualité et les résultats de ma soutenance ne constituent qu’un apoerçu du potentiel que j’ai pu acquérir au cours de ces 3 années de dure labeur.
Je dis merci au Président Komla SANDA, au Doyen JOHNSON et à toute son équipe pour le travail abattu. Ils nous ont donné cette formation de qualité et les résultats de ma soutenance ne constituent qu’un apperçu du potentiel que j’ai pu acquérir au cours de ces 3 années de dure labeur.
Vive la PSE PDL. Étant de cette première promotion, je ne regrette pas d’y avoir été formé.